Très souvent, les productions animales à grande échelle sont pointées du doigt comme étant responsables de la production importante de gas à effet de serre et d’avoir une mepreinte carbone déraisonnable. Les ruminants émettent du méthane lors de la digestion des fibres tandis que les monogastriques consomment de grandes quantités de soja qui voyage à travers la planète. La culture du soja transforme les terres et la végétation en appliquant le modèle de monoculture. Dans le domaine de l’aquaculture, la farine de poisson est encore souvent utilisée comme source proncipale de protéine. Il est donc absolument essentiel de trouver des alternatives à ces principes d’alimentation.
Les productions animales sont toutefois gérées de manière scientifique ce qui permet d’envisager la mise en place de solutions alternatives afin de réduire l’empreinte carbone générée.
L’Union Européenne a traduit les recommandations des Nations Unies en une politique très ambitieuse appelée le “Green Deal”. Notre industrie de la nutrition animale, représentée par la FEFAC et la FEFANA, montre un fort engagement envers cette politique et a délivré sa Charte de Développement Durable en listant mes objectifs à atteindre d’ici 2030.
Orffa, en tant qu’entreprise leader dans le développement et la formulation de nouveaux additifs nutritionels, est déjà impliquée dans la conception de produits qui contribuent à atteindre ces objectifs. Orffa est fortement engagée dans l’investissement en R&D pour développer des nouveaux concepts et des nouvelles solutions qui permettront à l’industrie de meiux faire face à ces questions environnementales.
Cette charte explique en détail les ambitions d’Orffa ainsi que les solutions afférentes.